CVJ - decembre 2025, Vol. 66, No. 12

Scientifique

Rapports de cas

Thrombopénie amégacaryocytaire chez un chien : défis diagnostiques et considérations thérapeutiques

Rachel McDonnell, Benoît Cuq (page 1266)

Une femelle beagle stérilisée âgée de 7 ans a été présentée à son vétérinaire traitant avec des vomissements, une léthargie et des signes d’hémorragie. Les examens ont révélé une thrombocytopénie sévère et une anémie régénérative. L’animal a été référé et à la suite d’examens complémentaires, un diagnostic initial de thrombocytopénie immunitaire primaire a été posé. Un traitement par vincristine et prednisolone a été instauré; cependant, la numération plaquettaire n’a pas augmenté, ce qui a nécessité l’ajout de cyclosporine. La numération plaquettaire s’est temporairement améliorée, mais n’est jamais revenue à la normale et a ensuite diminué à nouveau. Une biopsie de moelle osseuse a confirmé le diagnostic de thrombocytopénie amégacaryocytaire. Des ajustements thérapeutiques, notamment l’instauration d’azathioprine, ont entraîné une augmentation de la numération plaquettaire. Cependant, à la suite de l’apparition d’une détresse respiratoire aigüe, le propriétaire a perçu la qualité de vie de la chienne comme étant mauvaise, ce qui a conduit à la décision d’euthanasier l’animal. Ce cas met en évidence les difficultés diagnostiques liées à la distinction entre la thrombocytopénie amégacaryocytaire et la thrombocytopénie immunitaire primaire, ainsi que la complexité de la prise en charge de cette affection rarement rapportée chez l’animal.

Message clinique clé :
Ce rapport décrit le tableau clinique, l’investigation diagnostique et le traitement d’un cas de thrombocytopénie amégacaryocytaire. Il met en évidence les difficultés diagnostiques rencontrées pour confirmer cette pathologie chez nos patients. L’examen de la moelle osseuse est justifié dès le début de l’évaluation diagnostique et de la prise en charge de la thrombocytopénie réfractaire, le pronostic et les implications thérapeutiques de la thrombocytopénie amégacaryocytaire étant significativement différents de ceux des autres étiologies.

Utilisation d’un cathéter de Fogarty pour traiter une atrésie distale du canal nasolacrymal chez un cheval debout sédaté

Simon Bourassi, Heather Jack, Agnieszka Florczyk (page 1273)

Une jument de 4 ans de race croisée Arabe-Paint a été référée pour investigation d’un épiphora chronique muco-purulent de l’œil gauche. Les examens radiographiques et ophtalmologiques ont permis d’identifier une atrésie distale du conduit nasolacrymal, associé à une absence de l’orifice nasolacrymal distal. Les traitements minimalement invasifs initiaux, incluant la cathétérisation avec guide métallique et le traitement par photoablation au laser diode, ont échoué. La pose d’un cathéter d’embolectomie artérielle de Fogarty sous sédation en station debout a permis un traitement définitif. Le gonflement et la déflation contrôlés du ballonnet ont permis la dilatation progressive du conduit nasolacrymal et une incision chirurgicale de la muqueuse au-dessus du ballonnet a permis la création d’un orifice nasal distal. Un stent temporaire a été maintenu en place pendant 4 semaines, ce qui a permis la restauration du drainage nasolacrymal, sans récurrence de l’épiphora. Douze mois après retrait du cathéter, la jument était toujours exempte de toute sécrétion oculaire anormale. Cette approche offre une alternative minimalement invasive pour le traitement de l’atrésie distale du canal nasolacrymal chez les chevaux, lorsque d’autres méthodes ont échoué.

Message clinique clé :
La néocanalisation assistée par cathéter de Fogarty s’est révélée une option pratique et efficace pour rétablir la perméabilité du canal nasolacrymal chez un cheval présentant une atrésie distale et l’absence d’orifice nasal, offrant ainsi une alternative minimalement invasive lorsque les méthodes conventionnelles avaient échoué.

Infection multi-pathogène des voies respiratoires inférieures, incluant un agent fongique, chez une pouliche mustang d’un an

Isabel M. Calero, Erica C. McKenzie, Jennifer L. Johns (page 1279)

Ce rapport décrit le diagnostic et la prise en charge réussie d’une pouliche d’un an présentant une anémie positive au test de Coombs, une thrombocytopénie et une pneumonie fongique. Les examens diagnostiques, incluant une échographie et une radiographie thoraciques, un test PCR de détection des agents pathogènes respiratoires et l’analyse des échantillons de lavage trachéal et broncho-alvéolaire, ont permis d’établir une infection multi-pathogène des voies respiratoires inférieures, incluant un agent fongique. Le voriconazole administré par voie orale a joué un rôle clé dans le traitement de ce cas pour éliminer l’infection fongique, parallèlement aux traitements de prise en charge des maladies hématologiques. Ce cas a démontré l’importance d’une évaluation diagnostique complète et de la fiabilité des données de la littérature pour résoudre efficacement une situation médicale complexe dont le pronostic était sombre.

Message clinique clé :
La pharmacocinétique du voriconazole administré par voie orale a été établie chez les chevaux. Ce médicament peut être économique et efficace pour le traitement de certaines infections respiratoires fongiques chez les chevaux.

Un cas de rhabdomyosarcome embryonnaire digital chez un chat

Seongwon Heo, Chaewon Shin, Hayoung Ryu, Seulgi Hwang, Il-Hwa Hong, Dong-In Jung, DoHyeon Yu, Hyeona Bae (page 1286)

Un chat Angora turc de onze ans a été présenté avec une masse dans la région phalangienne de l’avant-bras droit. Deux ans auparavant, le chat avait subi une résection chirurgicale d’une masse interscapulaire dorsale. Avant de commencer la thérapie anticancéreuse, une biopsie incisionnelle chirurgicale a été réalisée, suivie d’analyses histopathologiques et immunohistochimiques. Le diagnostic était un rhabdomyosarcome embryonnaire (RMS), positif pour la desmine, la vimentine et la protéine 1 de détermination des myoblastes. En conséquence, une amputation de l’avant-bras droit a été réalisée. À notre connaissance, il s’agit du premier cas rapporté de RMS digital chez un chat. Étant donné que le RMS est une tumeur rare chez les chats, il est essentiel d’étudier sa présentation clinique, ses changements hématologiques et sérologiques, ses réponses au traitement et son pronostic. Convenablement, ce rapport de cas fournit un aperçu précieux de la gestion de cas similaires chez les chats.

Message clinique clé :
Ce premier cas rapporté de RMS digital chez un chat souligne l’importance d’étudier la présentation clinique et le traitement du RMS chez des patients félins.

Stéatite généralisée chez une jument miniature présentant une fourbure et évolution positive après 18 mois de suivi

Acacia Johnson, Bruno Karam, Olivia Schroeder, Lauren McKaig, Kimberly Loesch (page 1292)

Une jument miniature de 12 mois a été présentée pour fourbure, suspicion de lymphangite et fièvre. Bien que l’examen clinique initial et les tests diagnostiques suggéraient une étiologie infectieuse, l’échographie a laissé suspecter une stéatite généralisée. Ceci a été confirmé par histopathologie. La jument a complètement récupéré, les signes cliniques continuant de s’estomper 18 mois après sa présentation. Ce cas présentait des aspects similaires à ceux des présentations cliniques précédemment rapportées, ainsi qu’un suivi à long terme dans une race non surreprésentée, apportant une documentation supplémentaire sur une affection rare chez les chevaux miniatures en Amérique du Nord.

Message clinique clé :
La stéatite généralisée est une affection rare chez les équidés en Amérique du Nord. Ce cas a fourni un exemple pour faciliter le diagnostic, le diagnostic et le traitement associés à une évolution favorable.

Un cas de fibroplasie sclérosante éosinophilique féline gastro-intestinale s’étendant au foie et aux ganglions lymphatiques jéjunaux

Margherita Orlandi, Francesca Parisi, Francesca Abramo, Caterina Puccinelli, Verena Habermaaß, Giulia Mennuni, Veronica Marchetti (page 1297)

Un chat domestique mâle castré, âgé de 8 ans, présentant des antécédents de diarrhée persistante et un diagnostic antérieur de fibroplasie sclérosante éosinophilique féline gastro-intestinale jéjunale, a été présenté à notre hôpital. L’échographie abdominale a révélé une lésion hépatique avec une altération diffuse de l’échostructure. L’analyse histopathologique a confirmé le diagnostic de fibroplasie sclérosante éosinophilique féline hépatique (FSEF), caractérisée par des lésions multinodulaires avec d’abondants infiltrats de cellules inflammatoires. Malgré un traitement par corticostéroïdes et des soins de support, le chat a été euthanasié 15 jours après le diagnostic en raison de la détérioration de son état de santé.

Ce rapport vise à souligner la nécessité d’inclure la FSEF dans les diagnostics différentiels lors du diagnostic de masses hépatiques chez le chat, en particulier chez les chats présentant des antécédents d’atteinte gastro-intestinale. Cela souligne la nécessité d’une confirmation histopathologique et met en évidence les difficultés diagnostiques de cette affection, notamment en raison de sa nature multifocale et du risque de diagnostic erroné de tumeur. Avec seulement 2 cas documentés d’atteinte hépatique, le pronostic de la FSEF hépatique reste incertain, ce qui justifie des investigations complémentaires afin d’établir des recommandations thérapeutiques définitives.

Message clinique clé :
La fibroplasie sclérosante éosinophile féline doit être envisagée comme diagnostic différentiel chez les chats présentant des masses hépatiques. Le diagnostic repose sur une anamnèse et un examen clinique approfondis, principalement en présence d’une tumeur gastro-intestinale antérieure. L’analyse histopathologique est essentielle pour un diagnostic définitif.

Pronostic de la résection intestinale chirurgicale chez un chien présentant une maladie inflammatoire chronique de l’intestin réfractaire au traitement médical

Jeong-Ho Ha, Yunho Jeong, Ho-Hyun Kwak, Sooyoung Choi, Jin-Ok Ahn, Jin-Young Chung (page 1303)

Une chienne bichon maltais stérilisée de 14 ans a reçu un diagnostic de maladie inflammatoire chronique de l’intestin (MICI) à la suite d’une biopsie chirurgicale et à des trouvailles histopathologiques. L’état clinique de la chienne était stable sous prednisolone depuis 2 ans, mais elle a ensuite développé une diarrhée, et son taux d’albumine sérique n’a pas pu être correctement contrôlé. Malgré l’augmentation de la dose de prednisolone (1 mg/kg, PO, toutes les 12 heures), le taux d’albumine sérique est resté faible et la diarrhée a persisté. L’imagerie diagnostique a identifié la cause sous-jacente des signes gastro-intestinaux comme un épaississement segmentaire excentrique de la paroi de l’intestin grêle avec hypo-rehaussement homogène. Une résection chirurgicale du segment affecté a été réalisée, principalement à des fins d’examen histopathologique afin d’identifier la cause sous-jacente plutôt qu’à des fins thérapeutiques. En postopératoire, la prise en charge médicale a été poursuivie et la réponse au traitement s’est améliorée avec une diminution progressive de la prednisolone. Une prise en charge stable a finalement été obtenue grâce à une dose de prednisolone de 0,25 mg/kg, PO, toutes les 24 heures, une fois.

Message clinique clé :
En médecine vétérinaire, les MICI sont généralement prises en charge par un traitement médical, et un pronostic défavorable peut survenir si les signes cliniques ne sont pas contrôlés. Cependant, dans certains cas, une approche chirurgicale peut être bénéfique dans la prise en charge des MICI. Dans le cas rapporté ici, une résection chirurgicale a été réalisée sur les segments d’intestin présentant une inflammation sévère chez une chienne bichon maltais stérilisée de 14 ans, chez qui une MICI non contrôlée par un traitement médical a été diagnostiquée. Après l’intervention, la MICI a été prise en charge avec succès par la prednisolone.

Articles

Caractérisation des nodules pulmonaires métastatiques canins par tomographie par émission de positons/tomodensitométrie au 18F-fluorodésoxyglucose

Eric D.Y. Kim, Jasmine Gu, Arata Matsuyama (page 1308)

Contexte
Les métastases pulmonaires sont une cause majeure de mortalité chez les chiens atteints de cancers. Cependant, les méthodes d’imagerie thoracique traditionnelles, telles que les radiographies et la tomodensitométrie (TDM), ont une sensibilité limitée pour la détection des petits nodules. La tomographie par émission de positons/TDM au 18F-fluorodésoxyglucose (TEP/TDM au 18F-FDG) offre des capacités d’imagerie fonctionnelle et pourrait améliorer la détection des métastases et la stadification du cancer. Cependant, son rôle dans l’évaluation des nodules pulmonaires chez le chien est mal compris et les paramètres d’imagerie spécifiques à l’espèce font défaut.

Objectif
Cette étude visait à caractériser les nodules pulmonaires métastatiques chez le chien par TEP/TDM au 18F-FDG, en se concentrant sur les associations entre la taille, la localisation et la valeur maximale de fixation standardisée (VFSmax) des nodules.

Animaux et procédure
Un total de 109 nodules pulmonaires détectés par TEP/TDM au 18F-FDG chez des chiens atteints d’un cancer agressif ont été examinés rétrospectivement par un radiologiste certifié. Des analyses statistiques descriptives et analytiques ont été réalisées afin d’évaluer les relations entre les facteurs d’imagerie.

Résultats
La taille des nodules et le VFSmax présentaient une forte variabilité, avec un diamètre médian de 6,4 mm (plage : 5 à 20 mm) et un VFSmax médian de 3,72 (plage : 0,7 à 27,45). Une corrélation modérée mais positive a été observée entre la taille des nodules et le VFSmax (τ = 0,526; P < 0,001). La localisation des nodules n’a pas eu d’effet significatif sur le VFSmax. De plus, en utilisant un seuil de VFSmax proposé de 2,5, obtenu à partir d’une recommandation humaine, 34,9 % (38/109) des nodules ont été classés comme bénins.

Conclusion et pertinence clinique
Nos résultats contribuent au nombre croissant de recherches sur l’imagerie TEP/TDM au 18F-FDG en oncologie canine et soulignent la nécessité d’un seuil VFSmax spécifique au chien afin d’améliorer la précision diagnostique. Nous insistons sur la nécessité de mener des études prospectives de plus grande envergure pour affiner l’interprétation des valeurs VFSmax des nodules pulmonaires métastatiques chez le chien.

Comparaison de l’efficacité clinique et immunologique de la primovaccination systémique versus la primovaccination mucosale et le rappel systémique chez les veaux de boucherie après co-infection par le virus respiratoire syncytial bovin et le virus parainfluenza bovin de type 3 au sevrage

Nathan E.N. Erickson, Cheryl L. Waldner, Michelle Sniatynski, Stacey Lacoste, Diego Moya, John A. Ellis (page 1315)

Objectif
Cette étude a comparé l’efficacité de la primovaccination mucosale et du rappel systémique chez les jeunes veaux de boucherie à la norme actuelle de l’industrie qui est la primovaccination systémique en présence d’anticorps maternels.

Animaux
Des veaux de boucherie croisés commerciaux nés en avril (N = 22) ont été recrutés comme nouveau-nés, avec un poids corporel moyen de 37,7 ± 5,3 kg.

Procédure
À la naissance, 11 veaux (PRB) ont reçu par voie intranasale un vaccin mucosal combiné commercial à virus vivants modifiés [herpèsvirus bovin de type 1 (BoHV1), virus respiratoire syncytial bovin (BRSV), virus parainfluenza bovin de type 3 (BPIV3)], et 11 veaux (INJ) n’ont pas été vaccinés. À environ 39 ± 2 jours d’âge, les 22 veaux ont reçu par voie sous-cutanée un vaccin systémique combiné à virus vivants modifiés (BoHV1, BRSV, BPIV3 et virus de la diarrhée virale bovine de types 1 et 2). Au sevrage (159 ± 2 jours d’âge), les veaux ont été infectés par le BRSV et le BPIV3 et surveillés pendant 8 jours pour évaluer leur état de santé et leurs résultats immunologiques.

Résultats
Le groupe INJ présentait un risque accru de scores cliniques cumulés de groupe plus élevés au jour 8 et de température rectale > 39,5 °C aux jours 7 et 8 après l’infection. Les veaux INJ présentaient une oxygénation artérielle plus faible que les veaux PRB au jour 6, indiquant une pathologie pulmonaire plus grave. L’excrétion du BRSV et du BPIV3 était plus importante aux jours 5 et 7 pour les veaux INJ que pour les veaux PRB.

Conclusion
La primovaccination par voie mucosale et le rappel systémique ont entraîné moins de lésions pulmonaires et une excrétion virale moindre après une infection virale au sevrage que la primovaccination systémique chez les jeunes veaux.

Pertinence clinique
La vaccination par rappel optimise le développement immunitaire jusqu’au sevrage.

Maladie oculaire associée à l’enrofloxacine chez le chat : recension de la littérature

J. Scott Weese, Heather E. Weese (page 1326)

Contexte
Des effets oculaires, notamment une dégénérescence rétinienne, ont été associés à l’utilisation de l’enrofloxacine chez le chat. Cependant, les données sont limitées et une synthèse formelle des preuves est nécessaire afin de mieux comprendre et caractériser ces effets indésirables qui affectent potentiellement la vie.

Objectif
L’objectif était de décrire les données concernant les effets indésirables oculaires associés à l’administration d’enrofloxacine chez le chat et d’identifier les lacunes en matière d’information.

Procédure
Une revue de la littérature a été réalisée, en consultant les bases de données bibliographiques MEDLINE (via la plateforme Ovid), Web of Science et CAB Abstracts.

Résultats
Six références ont été sélectionnées après criblage du titre et du résumé et ensuite criblage du texte complet : une série de cas (n = 17 cas), 3 rapports de cas individuels, 1 résumé de conférence (n = 2 cas) et 1 résumé de pharmacovigilance. Des effets indésirables oculaires associés à l’enrofloxacine ont été rapportés chez 163 chats. Une perte de vision, une mydriase et une altération de la réponse pupillaire à la lumière ont été les plus fréquemment rapportées. Une augmentation de la réflectivité tapétale, une atténuation des vaisseaux rétiniens et une dégénérescence rétinienne étaient les anomalies les plus fréquentes à l’examen ophtalmologique. La plupart des chats présentaient une cécité permanente ou une altération de la vision. La plupart avaient reçu des doses bien supérieures à la recommandation actuelle, mais 15/103 chats (14 %) pour lesquels des données posologiques étaient disponibles ont reçu une dose ≤ 5 mg/kg par jour.

Conclusion et pertinence clinique
Une suspicion de maladie oculaire associée à l’enrofloxacine chez le chat a généralement entraîné une cécité ou des déficits visuels à long terme, mais une guérison complète a été observée chez un sous-groupe. Les données disponibles pour évaluer les facteurs de risque (par exemple, l’âge, la dose) étaient insuffisantes. Bien qu’une dose ≤ 5 mg/kg par jour réduise probablement la probabilité d’effets indésirables, ces données indiquaient qu’une maladie oculaire restait possible à cette dose.

Test éclair

(page 1263)

Remerciements aux collègues qui examinent et traduisent les textes

(page 1254)

Rubriques

Éditorial

Célébrons ce qu’il y a de bon et de positif en médecine vétérinaire!

John Kastelic, Tim Ogilvie (page 1257)

Déontologie vétérinaire

(page 1260)

Groupe consultatif sur l’accès aux produits pharmaceutiques de l’ACMV

Parlons des médicaments en médecine vétérinaire – Introduction

Ian Sandler, Ian Alexander (page 1334)

Rapport spécial

Cows, community, and capacity: Perspectives from the field in Kenya

Grace Friesen, Maddalena Jacobson, Méli-Jade Léveillé-Blais, Laura Vivas (page 1338)
Ian Sandler, Ian Alexander (page 1334)

Histoire vétérinaire

Veterinarians Without Borders North America: Celebrating 20 years of greater access to veterinary care

Danielle D. Legault, Kristen C. Rodrigues, Tanja M. Kisslinger, Valli-Laurente Fraser-Celin, Michelle Tuma (page 1342)

Une santé

Volunteering for One Health — How Veterinarians Without Borders leverages volunteer sending programs to strengthen systems globally

Megan Sylka (page 1346)

Défis du secteur bioalimentaire

Food Animal Matters: Skills for working with farm employees

Robert Tremblay (page 1350)

Dermatologie vétérinaire

Shampoo therapy in veterinary dermatology: Benefits and practical tips

Jangi Bajwa (page 1354)

Annonces

Index des annonceurs

(page 1353)

Annuaire des entreprises

(page 1358)